MOTOHASHI SEIICHI
Photographe aussi bien que cinéaste, Motohashi Seiichi se définit avant tout comme un réaliste et un humaniste. Né en 1940, il s’est consacré à une diversité de thématiques comportant toujours une dimension sociale, et a ainsi contribué à donner une visibilité à des franges de population modestes et souvent délaissées. Il a notamment eu pour sujets : l’impact du désastre nucléaire de Tchernobyl, le labeur des mines de charbon, l’univers du cirque, le marché au poisson de Tsukiji ou bien encore la Gare de Ueno.
Motohashi Seiichi a été récompensé de nombreux prix aussi bien pour son travail photographique que cinématographique : le prix Taiyo en 1968 pour sa série sur les mines, le 17ᵉ prix Ken Domon pour son film Nadya’s village, ou encore le Photographic Society of Japan Award en 2013 pour ses photos de la gare de Ueno notamment. Lauréat du prix Higashikawa pour une exposition solo au Izu Photo Museum en 2016, son travail vient aussi d’être présenté cet été aux côtés de celui de Robert Doisneau au Tokyo Photographic Art Museum.
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Photographer as well as filmmaker, Motohashi Seiichi defines himself above all as a realist and a humanist. Born in 1940, he devoted himself to a diversity of themes, always including a social dimension, and thus contributed to giving visibility to modest and often neglected sections of the population. Its subjects included : the impact of the Chernobyl nuclear disaster, the work of coal mines, the world of the circus, the Tsukiji fish market or Ueno station.
Motohashi Seiichi has been awarded numerous prizes both for his photographic and cinematographic work: the Taiyo Prize in 1968 for his series on mines, the 17th Ken Domon Prize for his film Nadya's village, and the Photographic Society of Japan Award in 2013 for his photos of Ueno station notably. Winner of the Higashikawa Prize for a solo exhibition at the Izu Photo Museum in 2016, his work has also just been presented this summer alongside Robert Doisneau’s work at the Tokyo Photographic Art Museum.