NOBUYOSHI ARAKI - TOKYO LUCKY HOLE
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NOBUYOSHI ARAKI - TOKYO LUCKY HOLE

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NOBUYOSHI ARAKI
TOKYO LUCKY HOLE

Published by Taschen in 2021
Book size 14x19,5 cm
704 pages
Hardcover
Language English, German, French

It all began in 1978 in an ordinary café near Kyoto. Word spread that the waitresses there wore no panties under their miniskirts and transparent tights. Similar establishments soon opened all over the country. Men lined up on the sidewalk, willing to pay three times the price for a coffee just to be served by young, pantless women. A few years later, the Japanese became passionate about panty-free massage parlors.
To stand out from the crowd and attract customers, competing brands are multiplying ancillary services, from masturbating customers through a hole in a coffin in which they lie, feigning death, to catering for commuter train fetishists. One destination in particular attracts them to Tokyo: the “Lucky Hole” club. Here, the principle is ridiculously simple: the customer stands on one side of a plywood barrier, a waitress on the other, and the wall is pierced by a hole big enough to pass a certain part of the male anatomy.
Nobuyoshi Araki's Lucky Hole immortalizes the rise of Japan's pornographic industry through more than 800 photos of the pleasure-seekers and purveyors who populated Tokyo's red-light district of Shinjuku, until the February 1985 decree for the control and improvement of the new entertainment industries led to the closure of most of the country's sexy addresses.
Mirrors on the walls, crumpled sheets, cages, orgies, bondage and moaning make up these final bacchanalian images, tinged with humor, precise poetry and perplexing observations.

Tout a commence en 1978 dans un café ordinaire près de Kyoto. La rumeur se répand que les serveuses n'y portent pas de culotte sous leurs minijupes et des collants transparents. Des établissements similaires ne tardent pas à ouvrir dans tout le pays. Les hommes font la queue sur le trottoir, prêts à payer un café trois fois son prix juste pour être servis par des jeunes femmes sans culottes. Quelques années plus tard, les Japonais se passionnent pour les salons de massage sans culotte.
Pour faire la différence et attirer la clientèle, les enseignes concurrentes multiplient les prestations annexes, de la masturbation du client à travers un trou pratiqué dans un cercueil dans lequel il git, feignant la mort, au service traiteur pour fétichistes de trains de banlieue. Une destination en particulier les attire à Tokyo : le club "Lucky Hole" . Là, le principe est ridiculement simple : le client se tient d'un côté d'une barrière en contre-plaqué, une serveuse de l'autre, et la paroi est percée d'un trou suffisamment grand pour y passer une certaine partie de l'anatomie masculine.
Nobuyoshi Araki a choisi d'intituler Lucky Hole ce livre destiné à immortaliser l'essor de l'industrie pornographique japonaise à travers plus de 800 photos des pourvoyeurs et quêteurs de plaisir qui peuplaient le quartier rouge de Shinjuku, à Tokyo, jusqu'à ce que le décret de février 1985 pour le contrôle et l'amélioration des nouvelles industries de divertissement provoque la fermeture d'une majorité des adresses sexy du pays.
Miroirs aux murs, draps froissés, cages, orgies, bondage et gémissements composent ces dernières images de bacchanale, tintées d'humour, d'une poésie précise et d'observations perplexes.